Accessibilité

Assistance et accueil
Pour toute question concernant l’accessibilité d’un spectacle ou une mesure d’accessibilité, vous pouvez prendre contact avec Nathalie Garbely à l’adresse participation@far-nyon.ch ou au +41 22 365 15 51.

Venir au festival
Depuis la gare de Nyon, il faut marcher environ 10 minutes
Cliquez ici pour accéder au lien vers le plan (avec un itinéraire recommandé)
Description : Sortez de la gare de Nyon par la sortie principale, côté lac.
Si vous arrivez sur la voie 1 (trains en provenance Morges, Lausanne…), vous pouvez rejoindre le trottoir directement.
Si vous arrivez sur les autres voies, vous passerez par le passage sous-voie. Une rampe descendante permet un accès sans escaliers.
En bas de la rampe, tournez à gauche. Vous êtes sous un grand porche, sous les voies de train.
Juste après ce porche, deux options s’offrent à vous :
En face et à gauche, un large escalier monte, sans rambarde.
à droite, une rampe accessible permet de monter sans marche.

Pour les deux itinéraires, traversez la « place de la gare » au passage piéton. Un feu sonore est là pour vous guider.
Une fois de l’autre côté, partez vers la gauche et marchez environ une minute en longeant la rue.
Vous arrivez à un deuxième passage piéton pour traverser l’avenue Viollier.
Ce passage n’a pas de feu sonore.
Une fois la traversée terminée, continuez tout droit, sur 50 mètres. La route avec de la circulation est désormais sur votre gauche.
Prenez le premier chemin à droite. Le sol devient pavé.
Suivez ce chemin pavé sur environ 50 mètres, puis tournez à gauche sur la Rue Juste-Olivier. Prenez la première à droite, vous passez devant le magasin Denner. Continuez tout droit jusqu’au prochain passage piéton.
Là aussi, pas de feu sonore. Vous traversez l’Avenue Perdtemps.
Après la traversée, vous passez devant les barrières du parking Perdtemps. Il peut y avoir des voitures qui sortent du parking Perdtemps.
Continuez toujours tout droit.
Vous commencerez à entendre l’ambiance du festival : des voix, de la musique, du mouvement.
Vous êtes arrivé·e·x·s à la Cour des Marchandises, l’espace central du festival.
Des personnes de l’équipe sont sur place pour vous accueillir et vous accompagner si besoin.

Gratuité
Sisyphe(s) proliférations
The Stumble Corner (« Le coin du trébuchement ») atelier
a s s o m b r a ç ã o : apparition gare de Nyon (spectacle et apéritif partagé)
Le rêve de voler
IMPACT D’UNE COURSE [nyon]
RUN THEM ALL (sortie de résidence)
La demande d’asile ([15.08, Gland], [16.08, Nyon]) 
Journée ddd, dramaturgie, danse, dialogue
Toutes les fêtes et concerts en plein air sur la Cour des Marchandises
Tous les spectacles et ateliers du mercredi 13.08

Spectacles accessibles aux personnes aveugles et malvoyantes
LUGAR
All of Me
Jusque dans nos lits
Des visites tactiles sont organisées 1h avant les représentations sur inscription auprès de la billetterie.
Les chiens-guides et les chiens d’assistance sont autorisés en tous lieux, y compris dans les salles de spectacle.

Spectacles accessibles aux personnes sourdes et malentendantes
Sisyphe(s) proliférations
Summoning a chorus of vilaines («Invoquer un chœur de vilaines»)
BESTIARIUM
RUN THEM ALL (sortie de résidence)
– titre provisoire –
IMPACT D’UNE COURSE [nyon]

Spectacles Relax
Retrouvez les descriptifs des spectacles en FALC dans le paragraphe ci-dessous.
Sisyphe(s) proliférations
Faire troupeau
Summoning a chorus of vilaines («Invoquer un chœur de vilaines»)
IMPACT D’UNE COURSE [nyon]
valse, valse, valse
Le rêve de voler
La demande d’asile ([15.08, Gland], [16.08, Nyon]) 

Accueil et stationnement PMR
55 places de stationnement publiques pour personne à mobilité réduite sont réparties dans Nyon.
La Cour des Marchandises, espace central du festival est accessible aux personnes à mobilité réduite ainsi que plusieurs salles et lieux du festival:
–       Les Marchandises
–       Salle Communale
–       Usine à Gaz
–       Salle de la Colombière
–       La Soliderie
–       Atelier 011 – Fondation Esp’Asse
–       La Grenette
–       Gare de Nyon

Opération Chaise rouge
Le far° collabore avec la Chaise rouge – service proposé par la Croix-Rouge vaudoise avec le soutien de Pro Infirmis Vaud – pour offrir un accompagnement personnalisé et adapté à différents types de handicap. Les personnes en situation de handicap qui souhaitent bénéficier du service d’accompagnement de la Chaise rouge peuvent contacter la Croix-Rouge vaudoise qui les mettra en contact avec un bénévole en fonction des disponibilités. Cette prestation est offerte et disponible uniquement sur inscription.
Contacter la Croix-Rouge vaudoise: 021 340 00 99 ou benevolat@croixrougevaudoise.ch

Charte Aretha
Le far° est signataire de la charte Aretha, de l’association fribourgeoise Mille Sept Sans, engagée dans la sensibilisation et la prévention de violences sexistes et sexuelles dans l’espace public.

Marion Thomas – Faire troupeau
Faire troupeau invite les personnes à vivre une expérience originale.
Dans ce spectacle,
le public devient un troupeau de moutons
qui part en voyage ensemble.
Pendant ce voyage,
le troupeau est attaqué par une meute de loups.
Mais il arrive à survivre
grâce à la solidarité
et à l’intelligence collective des moutons.
Ce spectacle utilise aussi de l’humour
et des références à la culture populaire
(portraits, musiques, films connus).
L’artiste Marion Thomas veut montrer
que les moutons ne sont pas bêtes.
Elle montre que travailler ensemble,
c’est important pour vivre en paix
et pour résister en cas de problème.
Ce spectacle mélange :
·       des faits scientifiques,
·       une histoire de catastrophe,
·       et un récit personnel.
Faire troupeau pose une question :
Pouvons-nous nous aider les uns les autres
quand il y a une crise ?
Ce spectacle donne envie de croire
que l’empathie (comprendre les autres)
peut être une force importante pour agir ensemble.

Dénominateurs communs – Sisyphe(s) proliférations
Au début, il y a 3, 4 ou 5 personnes.
Parfois, il y en a beaucoup plus.
Elles ont un but commun :
construire la plus haute tour du monde.
Elles se retrouvent dehors, dans la ville de Nyon :
sur une place, une rue ou une jetée.
Leurs corps bougent tout le temps.
Elles :
s’attirent,
se repoussent,
courent,
tombent,
se relèvent.
Elles n’arrêtent jamais.
Petit à petit,
elles transforment des petites planches en bois
(en KAPLA®)
en une grande œuvre collective.
Chacune fait des gestes personnels.
Mais elles s’entraident aussi beaucoup.
Ensemble, elles construisent une tour très haute.
Mais à un moment, la tour s’effondre.
Et après ?
Que peut-on faire des ruines de la tour ?
Que peut-on faire quand tout s’écroule ?
Le spectacle s’appelle Sisyphe(s) proliférations.
Il change tout le temps,
comme des champignons qui poussent un peu partout.
Sisyphe(s) proliférations,
c’est à la fois un jeu d’enfants
et une performance artistique.
Après le spectacle,
le public peut jouer avec les planchettes KAPLA®
et participer à la construction.

Marion Zurbach – Summoning a chorus of vilaines (« Invoquer un chœur de vilaines »)
Ce spectacle est un solo :
c’est une seule personne qui danse.
La danseuse s’appelle Marion Zurbach.
Elle a été formée à la danse classique,
qui demande beaucoup de discipline
et de performance physique.
Mais dans ce spectacle,
elle cherche à changer les règles.
Elle parle avec son corps
et avec son histoire personnelle.
Elle pose des questions comme :
·       Qu’est-ce que la danse « normale » ?
·       Qui décide de ce qui est beau ou pas ?
·       Que faire si l’on ne rentre pas dans les cases ?
Elle s’inspire de personnages oubliés ou mal vus
du ballet romantique.
Elle leur redonne une place.
Elle pense aussi aux animaux et plantes
qu’on dit « nuisibles » ou « envahissants ».
Elle voit en eux des forces de changement.
Avec eux, elle invente une danse étrange,
pleine de créatures bizarres,
entre le rêve et la réalité.
Elle montre que changer,
ce n’est jamais fini.
Nos identités bougent tout le temps.
C’est une danse inattendue,
qui peut perturber,
mais aussi faire plaisir et faire réfléchir.
Attention : il y a de la fumée dans la salle. Cela fait partie du spectacle. La salle est un peu sombre, il y a peu de lumière.

Johanna Heusser – valse, valse, valse
La valse est une danse ancienne.
Elle est apparue en Europe au 18ᵉ siècle.
À l’époque, elle fait scandale.
Pourquoi ?
Parce que les personnes :
·       sont très proches les unes des autres,
·       se tiennent dans les bras,
·       tournent sans arrêt.
La valse est vue comme une danse trop sensuelle,
trop libre, trop dangereuse.
Mais c’est justement cette façon de tourner
qui donne une sensation forte,
presque comme une ivresse ou une transe.
Aujourd’hui, dans le spectacle
valse, valse, valse,
l’artiste Johanna Heusser
redonne vie à cette énergie.
Elle est accompagnée de :
·       4 danseur·euses,
·       et un trio de musique à cordes.
Ensemble, ils et elles explorent la valse :
·       Est-ce une danse chic ?
·       Ou une danse de vertige ?
Ils cherchent à créer une nouvelle version de la valse.
Une valse moderne,
pleine de plaisir,
de mouvement,
et un peu de folie aussi.
Dans ce spectacle, les corps :
·       s’élancent,
·       tournent beaucoup,
·       et se laissent emporter par la musique.
Un moment fort et joyeux.

Nicolas Barry – Le rêve de voler
Ce spectacle s’appelle Le rêve de voler.
Il mélange danse et théâtre.
Il est joué par Sophie Billon et Nicolas Barry.
Les deux artistes rêvent de voler comme des oiseaux.
Mais ce rêve est impossible.
Car aucun·e des deux n’est un oiseau.
Ils essaient quand même :
ils font des exercices,
ils sautent,
ils se concentrent…
Mais ça ne marche pas.
Ils ne volent pas.
Ils ne sautent même pas très haut.
Ce spectacle est drôle
et aussi un peu triste.
Il parle de la volonté de se dépasser,
mais aussi de ce qu’on ne peut pas faire.
Dans notre société,
on nous pousse à être toujours plus forts,
à réussir, à briller, à produire.
Mais ici,
le spectacle choisit d’être lent,
raté,
rêveur.
C’est une sorte de poésie du raté.
Une danse maladroite,
mais belle et touchante.
Le rêve de voler,
c’est un spectacle pour rire doucement,
et pour penser autrement la réussite.

la horde dans les pavés – IMPACT D’UNE COURSE [nyon]
Ce spectacle a lieu dans la ville de Nyon.
C’est une  promenade artistique.
Des artistes marchent, courent, dansent, grimpent…
Ils utilisent les rues, les murs et les bâtiments de la ville.
Il y a :
·       5 artistes de cirque et de danse,
·       et 1 musicien qui court en jouant.
Le spectacle mélange :
·       la danse contemporaine,
·       le cirque (mais pas classique !),
·       et l’escalade urbaine.
C’est un moment très vivant,
plein de surprises et de mouvement.
Les artistes découvrent de nouveaux endroits,
et vous invitent à les suivre.
Le spectacle change à chaque fois,
car il s’adapte à la ville et à ses rues.
C’est une aventure pour toutes les générations.
Un moment joyeux, collectif et renversant !
Préparez-vous à regarder la ville autrement.

Nicolas Barry – La demande d’asile (Gland / Nyon)
Ce spectacle s’appelle La demande d’asile.
Il est joué par 2 personnes.
Il mélange la danse et le théâtre.
Il raconte l’histoire d’une femme qui demande l’asile.
Elle a fui son pays
parce qu’elle est LGBTQIA+
(et qu’elle ne s’y sentait ni libre, ni en sécurité).
Pour demander l’asile en France,
il faut passer un entretien très strict
devant un organisme appelé l’Ofpra.
Pendant cet entretien,
les personnes doivent raconter leur histoire
et prouver qu’elles disent la vérité.
C’est très difficile,
surtout quand on a vécu des traumatismes.
C’est encore plus dur pour les personnes LGBTQIA+ :
·       Comment parler d’amour ?
·       Comment raconter une identité longtemps cachée ?
·       Et comment le faire devant une institution qui juge ?
Le spectacle montre la violence de ce système.
Il ressemble plus à une enquête de police
qu’à un accueil humain.
Sur scène, une agente de l’Ofpra pose des questions.
La femme qui demande l’asile essaie de répondre.
Leurs corps bougent,
leurs gestes tournent en rond,
leurs voix se répètent…
et la situation devient presque absurde,
parfois même grotesque.
Mais il pourrait bien y avoir
un retournement de situation…
Ce spectacle, créé par Nicolas Barry,
dénonce une procédure injuste
et donne la parole à celles et ceux qu’on écoute rarement.