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Extra Time

Adaline Anobile · Baptiste Cazaux
Anne-Lise Tacheron

accompagnement artistique — relève et création
août
2019

durée : env 220’
(pauses comprises)
1 soirée / 3 spectacles

Le programme Extra Time vise à soutenir, prolonger et stimuler les démarches d’artistes suisses issus de la relève. Les participant·e·s à ce programme proviennent aussi bien des arts scéniques que d’autres disciplines artistiques contemporaines. Leur point commun réside dans une volonté d’intensifier leur pratique au sein des arts vivants. Pour le far°, elles et ils sont susceptibles de porter un regard neuf et de développer une démarche originale pour aborder la scène ou tout autre format performatif. Dans cette perspective, Extra Time propose un accompagnement artistique permettant aux artistes de réaliser une œuvre inédite en poursuivant le développement d’une pièce courte préexistante ou en s’engageant dans un nouveau projet. Il s’agit alors de leur donner l’occasion de préciser et d’éprouver leurs hypothèses avec comme finalité une présentation au festival. Les artistes bénéficient d’un suivi intensif, sur plusieurs mois, par un·e spécialiste des arts vivants qui leur apporte une analyse théorique, un regard extérieur critique et des outils pratiques leur permettant de questionner et d’affiner leur projet. Le programme Extra Time offre également un soutien à la production et contribue à favoriser la visibilité des artistes et la diffusion de leurs œuvres.

Accompagné·e·s par Myrto Katsiki et l’équipe du far°, Adaline Anobile, Baptiste Cazaux et Anne-Lise Tacheron ont développé des projets qu’ils présentent pour la première fois.

La jeune génération du far° ne fait pas dans l’esbroufe
Le Temps, 22 août 2019
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soutiens: Pro Helvetia – Fondation suisse pour la culture, Fondation Ernst Göhner, Fondation Leenaards, Fondation Nestlé pour l'Art, Société Académique Vaudoise – Fondation Pittet

 

Myrto Katsiki est chercheuse en danse et danseuse. Elle est rattachée au laboratoire «Analyse des discours et pratiques en danse», du département Danse de l’université Paris 8 où elle achève actuellement une thèse sur la notion du neutre en danse. Dans ses recherches elle privilégie comme démarche l’analyse des œuvres chorégraphiques, en s’interrogeant à la fois sur la perception du spectateur, les processus de fabrication des œuvres et sur le travail de l’interprète. Elle enseigne dans ce même département et dans le cadre du Master exerce – études chorégraphiques à l’ICI-CCN Montpellier / université Paul Valéry.